Article publié le mardi 19 mars 2019 par Isabelle Dixon Mis à jour le mardi 26 mars 2019
Rédigé par Anne-Catherine Prats, avec Sylvie Roques et Véréna Poinsot (UdA)
Point 1 : Présentation de Stéphane Minaberry nouveau DGS.
Le nouveau Directeur Général des Services a pris ses fonctions le 1er
décembre 2018, en remplacement de Laurent Barbieri. Il assurait
auparavant les fonctions de directeur général des services adjoint,
délégué au pôle finances et achats de l’Université de Bordeaux depuis
2014. Par ailleurs, il est président de l’association des directeurs
financiers d’établissements d’enseignement supérieur, créée en juin
2017.
Infos générales :
Projets EUR : le nombre de projets candidats est à ce jour de neuf pour
l’UFT. L’enseignement en anglais est indispensable. 9 projets c’est
encore trop. Les arbitrages auront lieu en bureau du DRDV le 11 mars.
Commission des HDR :
Suite au départ de la représentante pour les mathématiques, il faut
élire un successeur pour cette discipline. Le nom de Pierre Bousquet est
proposé. Membre de l’IMT, issu de l’ENS Lyon, il est affilié à la
section 26 du CNU (mathématiques appliquées). Cette candidature est
approuvée par la communauté des mathématiques.
Vote : approuvé à l’unanimité.
Réseau France Life Imaging :
Présentation par Isabelle Berry. Il s’agit d’un réseau d’infrastructure
en biologie et santé, lauréat des Investissements d’Avenir. Ce réseau
FLI est localisé au CEA, avec un catalogue de 130 équipements sur le
territoire national. Le montant de la mise à jour des équipements
s’élève à 22 M€. Le FLI organise des manifestations scientifiques et
labellise des formations.
Le FLI a notamment qualifié à Toulouse le CREFRE UMS 006, plateau
technique de neuroimagerie et volet recherche de l’imagerie
neurorologique au CHU Purpan et cardiaque (petit animal) au CHU
Rangueil.
Suite à une demande du PIA1, il y a eu récemment une extension à un pôle
occitan Montpellier-Toulouse avec création d’un comité de pilotage. On
demande d’entériner sa prolongation jusqu’en 2025. Sa pérennisation
au-delà devra être arbitrée par les nouvelles instances.
Point 2 : Approbation du compte rendu 22 janvier 2019
Approuvé à l’unanimité avec une non-participation au vote.
Point 3 : Création du LIA MAGNETO (IRAP)
Reporté
Point 4 : Nomination de la nouvelle directrice du LGCO : Mme Anne-Laure Gatignon-Turnau.
Le Laboratoire Gouvernance et Contrôle Organisationnel (LGCO) n’avait plus de direction depuis le départ d’Isabelle Martinez.
La nouvelle équipe de direction est composée d’une directrice, d’un directeur adjoint et de cinq chargés de mission.
ALGT, directrice pressentie, est MCF HDR, section 6 du CNU avec 12 ans d’ancienneté.
Ses recherches portent sur les projets environnementaux au sein des
entreprises, sur le « burn out » et sur les techniques de recrutement
des chômeurs de longue durée.
Le LGCO (environ 30 chercheurs permanents) se recentre sur deux thématiques :
santé et environnement (perception des consommateurs produits santé et environnement)
innovation managériale, mutations et entrepreneuriat.
La discussion porte sur les difficultés du LGCO. Son statut d’EA
pourra-t-il être reconduit alors qu’il avait déjà été remis en cause à
la dernière évaluation ? Quel sera son lien avec UT1 sachant qu’Isabelle
Martinez est partie à UT1 ?
Le LGCO est à la croisée de beaucoup de chemins et intéresse la FSI par l’intervention de l’unité dans la formation en gestion.
Il en ressort que le LGCO représente un enjeu politique, notamment par
rapport à UT1, et qu’il faut y être attentif car ce laboratoire est en
situation fragile.
Vote : la nomination de ALGT est approuvée à l’unanimité.
Point 5 : Nomination du nouveau directeur du CREFRE Massimiliano Bardotti
Reporté
Point 6 : Stratégie recherche
Un texte nous est proposé, qui a été rédigé par un groupe de travail ad
hoc (élus de la CR + plusieurs DU + responsables de comités de pôles).
Plusieurs conseillers font remarquer que le document est bien rédigé. On
discute sur les mots-clés « vie, santé et vieillissement » utilisés
pour la recherche sur le vivant. Seuls « santé et vieillissement » sont
maintenus, en précisant que le « et » n’est pas inclusif et que la
stratégie santé ne se limite pas au vieillissement. Certains conseillers
trouvent cependant que les termes « santé et vieillissement » ne
permettent pas à tout le monde de s’y reconnaître. Il est indiqué que
tel n’est pas forcément le but.
Nous convergeons sur le fait qu’il faut insister sur la recherche
fondamentale. Certains conseillers remarquent qu’elle n’est pas assez
mentionnée. Pourtant elle apparaît quatre fois dans le texte. Notamment
pages 2 et 7 du texte (chapeau et synthèse).
Alexis Valentin (AV) précise que ce texte est destiné aux partenaires
extérieurs (organismes et milieu socio-économique). Il faut dire à nos
tutelles où on souhaite mettre des forces.
Il ne s’agit pas de la version définitive. Une finition de ce document est en cours.
Point 7 : Répartition de l’enveloppe recherche
40 000 euros sont affectés à Ecole des Docteurs conformément au souhait du conseil des membres de la COMUE.
En tout la CR va consacrer 140 000 euros à la stratégie recherche (hors
CDU). AV propose d’affecter 10 contrats doctoraux à la stratégie
recherche de l’université, donc sur les quatre axes prioritaires : santé
et vieillissement ; mobilités – énergie ; environnement – ressources ;
intelligence artificielle.
Le nombre de décharges de service pour reconversion thématique (CRCT)
sera augmenté par rapport à l’an passé, en définissant mieux les
critères (déplacements à l’étranger, conversions thématiques, etc.). Les
lauréats devront faire un retour.
Le CNU en accorde 6 ou 7 par an.
Avant la coupure budgétaire, 100 000 euros étaient affectés aux CRCT chaque année.
Il est décidé de fixer le budget CRCT à 50 000 euros, ainsi il y aura un
nombre similaire de CRCT en local par rapport à celles octroyées par le
CNU.
La FSI a aussi réservé 15 semestres pour faire une campagne de CRCT.
On ne touche pas au budget des UMR/FR. AV rappelle qu’il ne souhaite ne pas faire payer l’hébergement aux laboratoires mais que cela représente une forte aide aux laboratoires concernés en plus de la dotation.
Faut-il maintenir l’aide aux nouveaux entrants (ce n’est pas la
décharge mais juste une enveloppe de démarrage (ordi, petit
consommable) ? Les avis divergent. Certains trouvent que c’est utile
pour les équipes qui accueillent un nouvel entrant, d’autres estiment
que c’est au laboratoire d’assurer et que cela ne devrait en tout cas
pas être automatique.
AV conclut qu’on garde un petit budget pour cette aide, mais que ce sera
limité à des cas où le besoin est réel. Il faudra informer les nouveaux
entrants qu’ils doivent en faire la demande.
Concernant le coût des comités de sélection, le forfait budgétaire ne sera pas automatique : il faut inciter chacun à économiser (choisir des experts dont les déplacements reviennent moins cher).
On augmente de 5 000 euros le budget des manifestations scientifiques pour atteindre ce qui a réellement été donné en 2018.
Vote : cette répartition du budget de l’enveloppe recherche est approuvée à l’unanimité
Vous devez être connecté(e) pour laisser un commentaire.