Avant démarrage de l’ordre du jour, Mme Michèle Chap (responsable administrative de la FSI) présente Mme Christine Pinel et Mme Sylvie Lacome qui intègrent le service des affaires générales de la FSI.
M. Jean-Marc Broto annonce le travail à faire sur le prochain contrat quinquennal, et annonce qu’il faudra par ailleurs voir les conséquences de la mise en place de la nouvelle loi pour l’Enseignement Supérieur et la Recherche (ESR).
Par ailleurs, il propose d’inverser certains points à l’ordre du jour. La numérotation des items ci-dessous indique l’ordre initialement prévu.
1. Approbation du compte-rendu du conseil du 9 juillet 2013
Quelques demandes de clarification sont faites. M. Thierry Canzoneri fait remarquer dans le règlement intérieur qu’il manque un service commun de chimie. Le compte-rendu est approuvé avec 9 abstentions et 13 pour.
3. Conventions
Le renouvellement de la co-habilitation du master informatique (M1+M2) intitulé « Systèmes de Télécommunications et Réseaux Informatiques – STRI » entre l’Université Paul Sabatier et l’Université Libanaise (Liban) est adopté à l’unanimité.
Un protocole d’accord, proposé par Campus France pour l’accueil des étudiants venus de Malaisie au niveau DUT puis en poursuite d’étude en licence, est présenté au conseil de la FSI puis adopté à l’unanimité.
5. Arbitrage des demandes de postes
M. Jean-Michel Roquejoffre (animateur de la commission scientifique de la FSI) présente les demandes de la FSI pour les enseignants-chercheurs. Pour cette année la gestion des demandes de personnels BIATSS est séparée de la demande d’enseignants-chercheurs. Il rappelle la procédure suivie par la commission scientifique, qui réfléchit à cette question depuis quatre mois. Il présente la liste des postes demandés en insistant sur le 23ième poste qui doit être rendu par l’IUT.
M. Xavier Buff demande en quoi cette liste entre dans les priorités de l’université, notamment en vue du projet sur les milles postes pour la réussite en licence. M. Broto répond qu’il n’est pas difficile de les identifier.
M. Marc Haenlin s’interroge sur la manière dont cette liste répond au déficit d’enseignements notamment en biologie. M. Roquejoffre dit qu’il y a un redéploiement d’un poste de PRAG de la section 27 vers la section 68. De nombreux conseillers interpellent M. Roquejoffre sur la prise en compte des besoins d’enseignement dans cette liste. Il leur est répondu que les directeurs de départements ont été écoutés par la commission scientifique mais qu’il n’est pas possible de tenir compte des sous-encadrements d’étudiants dans les différentes disciplines.
M. Buff s’interroge sur les priorités à long terme de la commission. M. Roquejoffre réplique que c’est d’abord à l’université de définir ces priorités.
M. Frédéric Marchal pointe les 15 ex-æquos qui montrent un manque de politique scientifique.
La liste de postes d’enseignants-chercheurs est mise au vote. Elle est adoptée avec 19 voix pour et 4 abstentions.
Les discussions sur les demandes de postes de personnels BIATSS démarrent.
M. Bernard Knibiehler évoque les difficultés dans les demandes de poste BIATSS, notamment causées par la limitation de la masse salariale. Concrètement toute promotion se traduit par un déclassement lors d’un renouvellement de postes.
M. Nicolas Suaud regrette de voir le document en séance alors qu’il préside la commission du personnel. En effet, la commission du personnel n’a pas été impliquée dans la discussion sur le classement des demandes de postes BIATSS. Par ailleurs, la liste de postes n’a pas non plus été transmise directement aux conseillers de la FSI au préalable. Une copie du document a été distribuée en réunion.
M. Marco Winckler évoque l’archaïsme de certaines procédures administratives dont la modernisation permettrait de dégager des personnels pour aider la pédagogie.
M. Daniel Sidobre suggère de rajouter le poste d’ingénieur qui avait été demandé dans le cadre des milles postes. Mme Chap s’associe à cette demande et suggère d’ajouter une demande de poste au service de la pédagogie.
La liste des demandes de postes de personnels BIATSS est adoptée avec 5 abstentions et 16 voix pour.
2. Modalités de contrôle des connaissances
M. Pascal Sainrat (animateur de la commission pédagogique) indique que les documents mis en ligne ne font apparaître que les nouvelles formations ou celles dont les modalités de contrôle connaissance ont beaucoup bougé. Un document a été établi pour présenter ces modalités aux étudiants.
Un représentant étudiant se plaint de la mise en ligne tardive (la veille) du document. Il regrette également que la discussion arrive si tard, ne permettant pas de modifications. Les points qui dérangent le plus les étudiants concernent le portail SN (Sciences de la Nature), en première année. Il conteste que certains contrôles soient bien des contrôles continus, au sens qu’ils n’ont pas un poids important dans la note finale (80 % pour le CC final en vision moléculaire de la cellule). Il défend le principe général : un contrôle continu doit rapporter un ECTS. M. Sainrat lui répond que les étudiants passent déjà 10% de leur temps en évaluation. Il explique aussi qu’un ECTS ne repose pas uniquement sur les CC mais aussi sur le travail personnel.
M. Serge Cohen se plaint de l’aspect technique de la discussion et il demande pourquoi une conciliation n’a pas été faite avant. M. Marc Haenlin rappelle également la grande colère de l’été du département de biologie et de géosciences concernant les modalités de contrôle des connaissances. M. Broto et M. Sainrat minimisent les problèmes et assurent que les discussions se poursuivent.
Les modalités sont adoptées avec 4 voix contre, 5 abstentions, 17 voix pour.
4. UPSSITECH
M. Thierry Gayraud a été élu directeur de l’UPSSITECH et le conseil de la FSI donne un avis favorable à l’unanimité.
Il rappelle les formations de l’école en vue de valider leurs maquettes d’enseignement. Elles sont validées à l’unanimité.
M. Daniel Thébault, président du MEDEF Midi-Pyrénées, a été élu président du conseil de surveillance de l’UPSSITECH.
6. Point sur la rentrée
M. Broto évoque le nombre des étudiants (1250 en SN au premier semestre du L1) qui rend l’organisation des enseignements très difficile. Mme Chap évoque le manque de grands amphis pour accueillir des étudiants et des difficultés pour accueillir les étudiants handicapés.
Pour le portail SFA (Sciences Fondamentales et Appliquées) on compte 900 étudiants. M. Frédéric Migeon rappelle qu’on cherche à attirer des étudiants en sciences et pense que l’on ne sait pas les orienter.
M. Serge Cohen et Marco Winckler quittent la réunion à ce moment avant la fin de la séance.