AG du 12 avril 2018

Paruda

AG du 12 avril 2018

Secrétaire de séance. V. Ong-Meang

Présents :
M. Gardes, K. Bystricky, G. de Berranger, F. Charru, S. Cohen, E. Danchin, N. Davezac, M. Haenlin, O. Koundouzova, J.-D. Marty, A. Milon, V. Ong-Meang, V. Poinsot, A.-C. Prats, L. Presmanes, P. Thomas, A Walters.
Excusés :
J.-F. Arnal, F. Couderc, I. Dixon, F. Dumas, Ch. Lutz, M. Toplis.

Ordre du jour:

Point 1 : Approbation CR AG du 24 janvier 2018
– Approuvé à l’unanimité des présents moins 3 ABS.

Point 2 : IDEX et après IDEX (résumé des différentes interventions et propositions émises par les membres présents)
MG rapporte certains commentaires du jury international pour l’IDEX : le projet n’est pas à la hauteur du potentiel de recherche, la gouvernance de l’IDEX n’est pas bien notée.
Concernant les labos et les pôles, l’AG s’interroge sur leur poids sans IDEX et, sans projet politique associant Formation et Recherche, quelle place l’UPS peut avoir dans le monde. La fusion est-elle encore à l’ordre du jour ? Quel est le devenir de la COMUE ? Et celui de ses personnels, étant donné sa situation financière ? Quel impact de la perte de l’IDEX en termes d’aménagement territorial et de relations avec nos partenaires (CNRS, INSERM, Régions, Industriels, etc.) ? Ce sont les thèmes que ND et VOM ont abordé lors de leur rencontre avec la Présidence le 4 avril ; la question de savoir si UT3 reste ou non au sein de la COMUE, ou encore, envisage un rapprochement avec les 3 autres acteurs impliqués dans la fusion.
Le Président a annoncé en Commission Recherche du 20 mars qu’il comptait rencontrer syndicats et associations afin d’envisager le post-IDEX. Qu’est-ce qu’UdA peut proposer pour notre université ? La perte de ce label ne permet pas de postuler sur d’autres projets EX mais il est fait remarquer qu’étant donné que le site toulousain est de qualité, il faut maintenir cette lisibilité. La perte de l’IDEX peut être envisagée comme une situation où il n’y a plus de contraintes donc où tout devient possible : à nous d’imaginer ce que nous voulons pour notre université dans son environnement, riche en partenaires, et se raccrocher à ce qui marche actuellement (ex : Labex, PIA3 : seconde vague EUR*). Selon le Président, le projet IA (Intelligence Artificielle) a de fortes chances d’être attribué à Toulouse Il redeviendra donc possible de répondre à des projets, mais quel est son périmètre, quelles sont les communautés directement ou indirectement concernées par ce projet. Il faut aussi rester vigilants sur les opportunités de postuler sur des projets rassembleurs (ex : NCU qui ont débuté tardivement).
* se renseigner sur les modalités car elles auraient changé par rapport à la 1ère vague)
UdA constate donc que la perte de l’IDEX pourrait isoler UT3 et que ce n’est pas la vision portée par l’association qui estime au contraire qu’il faut s’ouvrir sur tous les partenaires présents sur le site de Toulouse, notamment UT1 et les écoles d’ingénieurs.
Le rôle des conseils centraux est évoqué comme des lieux d’enregistrement uniquement ; on peut s’interroger sur la politique de notre établissement en termes de recrutement, de budget et de promotion des personnels. Est évoquée notamment la suppression (temporaire) des CRCTs à la phase locale, dispositif important pour les EC désirant évoluer dans leur recherche ou encore renouer avec la Recherche. On fait aussi remarquer une absence de réflexion et de débats dans les conseils de notre université. L’idée est donc de proposer des débats, des conférences sur des thèmes touchant à notre activité (ex : Loi ORE, évaluation des enseignements, etc.) et à notre organisation en interne ou nationale (ex : PRISME, RIFSEEP).
Il est proposé que UdA produise et diffuse un texte de positionnement politique en regard de certains de ces thèmes débattus. L’AG propose que le CA d’UdA se réunisse pour fixer un cadre pour ces discussions.

Questions diverses : aucune